Statuts associatifs de l’AMAP « Herbe folle » (février 2013)

Statuts de l’AMAP « Herbe folle »

Article 1

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 ayant pour titre : AMAP de l’herbe folle.

Article 2

Cette association a pour objet :

  • de promouvoir une agriculture durable, socialement équitable, écologiquement saine si possible biologique,
  • de soutenir les agriculteurs de proximité désirant s’engager dans une production respectueuse de l’environnement,
  • de mettre en relations les adhérents et les producteurs (organisation des relations entre les partenaires et la distribution des produits dans le cadre d’une gestion désintéressée). L’association ne participe pas à l’achat des denrées,
  • de (re) créer un lien social,
  • de créer et de gérer un fonds de solidarité,
  • et d’organiser toutes manifestations publiques utiles au développement de l’association.

Article 3

L’adresse du siège social est fixée au 13 rue Henry Poulet 54470 Thiaucourt France.

L’association a le choix de l’adresse où le siège est établi. Il pourra être transféré sur décision de l’assemblée générale.

Article 4

La durée de l’association est illimitée.

Article 5

Les moyens d’action de l’association sont illimités pourvu qu’ils soient utiles à l’accomplissement du but de celle-ci.

Article 6

L’association est composée de membres actifs. Pour être membre de l’association, il faut adhérer aux objets de l’association mentionnés à l’article 2, aux règles de fonctionnement internes, et s’engager pour un an au moins auprès d’un producteur au moins, ce dernier étant membre de fait de l’association.

Article 7

La qualité de membre de l’association se perd par non respect des statuts, du règlement intérieur ou décès.

Article 8

Les ressources de l’association comprennent toutes formes de ressources, dans la mesure où elles ne sont pas contraires aux lois et où elles contribuent au développement du but de l’association. Elles reposent en partie sur une cotisation de solidarité définie à l’article 9.

Article 9

Chaque membre verse une cotisation de solidarité par trimestre dont le montant est fixé par l’Assemblée générale. Cette cotisation de solidarité alimente un fonds de solidarité dont les objets relèvent de l’article 2.

Article 10

L’association est administrée par l’assemblée générale trimestrielle qui est souveraine. L’assemblée générale constituée par les membres présents à ses réunions définit le fonctionnement de l’association. Les décisions sont prises à la majorité des deux tiers. L’ordre du jour des assemblées générales est réglé par l’ensemble des membres. A l’issue de l’assemblée générale, un trésorier et deux coordonnateurs sont élus, ces derniers pour une période d’un semestre renouvelable une fois.

Article 11

La dissolution de l’association ne peut être prononcée que par les deux tiers au moins des membres présents à l’assemblée générale, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés par celle-ci et l’actif s’il y a lieu, est dévolu conformément à l’article 9 de la loi du 1er juillet 1901 et du décret du 16 août1901.

Article 12

L’assemblée générale rédigera un règlement intérieur qui déterminera les détails d’exécution des présents statuts. Elle pourra le modifier si elle le juge nécessaire.

Fait à

Le

Signatures

Le président                                                                           Un membre du bureau

CONTRAT de l’AMAP de THIAUCOURT

CONTRAT de l’AMAP de THIAUCOURT (version diffusée en février 2013)

Moi, « amapien acheteur », je m’engage à :

Prendre un ou plusieurs paniers, pour l’année entière, de Juin à Juin, et à effectuer chaque début de trimestre, le paiement en avance des paniers, selon les tarifs décidés par l’AMAP,

Participer à la caisse de solidarité, au moment du règlement trimestriel (15€ par trimestre),

Trouver un remplaçant si je dois quitter l’AMAP dans l’année en cours,

Me rendre sur le lieu de la distribution des paniers le mercredi entre 18h00 et 19h15 à l’Ermitage à Thiaucourt (chez Rigaux),

Apporter les emballages nécessaires au bon transport de mes produits,

Favoriser le covoiturage vers le lieu de distribution,

M’organiser pour que mon panier soit pris par quelqu’un d’autre en cas d’empêchement ou prévenir les producteurs ; sinon accepter la perte du panier,

Me porter volontaire et m’inscrire sur la fiche d’aide à la distribution au moins deux fois dans l’année (installer, déballer, distribuer, ranger de 17h45 à 19h15),

Participer aux chantiers bénévoles à la ferme sur demande des producteurs,

Aller constituer mon ou mes paniers sur la ferme, lors des visites annuelles des exploitations,

Etre présent aux réunions de fin trimestre, afin de participer aux bilans et aux ajustements de fonctionnement de l’AMAP (dont le contenu des paniers), et plus généralement à la vie de l’AMAP,

Etre solidaire économiquement (fond de solidarité) et moralement avec les producteurs lors de difficultés de production indépendantes de leur responsabilité (par exemple, un panier peut être moins rempli ou plus répétitif du fait de circonstances climatiques difficiles ou un légume peut être non produit du fait d’un problème de livraison des plants…)

Communiquer en toute franchise et liberté, mes remarques et questions concernant la vie de l’AMAP, afin de trouver les explications et les ajustements nécessaires,

Moi, « amapien producteur », je m’engage à :

Fournir aux amapiens des aliments de qualité produits sur ma ferme, exceptionnellement d’une autre exploitation avec l’accord préalable des amapiens,

M’inscrire dans une dynamique d’agriculture durable (solidaire et responsable) et à collaborer avec l’AMAP en vue de l’amélioration des impacts écologiques et sociaux des pratiques de la ferme,

Me concerter avec les amapiens pour définir le prix, la quantité et la nature des produits contenus dans les paniers, notamment lors des réunions trimestrielles,

A garantir un prix stable, inférieur au prix de vente conventionnelle, au minimum égal au prix de vente à la ferme et indépendant des fluctuations du marché,

Livrer (ou faire livrer) les produits à 17h45 sur le lieu de distribution, à l’aide de conditionnements, légaux, assurant le maintien de la qualité des produits, et à les (faire) distribuer jusqu’ à 19h15,

Apporter la feuille d’émargement dont j’ai la garde et de veiller à ce qu’elle soit utilisée systématiquement,

Veiller à la bonne répartition de mes produits,

Assurer une transparence sur la vie de mon exploitation : situation économique et prix du panier, origine des produits achetés pour l’élevage, la culture et la transformation et méthodes de production,

Organiser une fois par an une distribution des paniers sur ma ferme, conjointe à une visite guidée de mon exploitation.

Ce contrat est susceptible d’évoluer et de recevoir les ajustements nécessaires et adoptés par l’ensemble des membres de l’AMAP.

Les Amapiens : producteurs, consom’acteurs, Herbe Folle

Compte-rendu de l’Assemblée Générale de Loramap (Chaillon, 17 mars 2013) suivi du rapport d’activité

Compte-rendu de l’Assemblée Générale de Loramap
(Chaillon, 17 mars 2013) ; ce texte est un copié collé de celui diffusé par Loramap en format PDF (dispo sur site)
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Guillaume Boitel ouvre l’AG, salue les présents (une quarantaine de présents),
accueille les représentants des partenaires (CGA, FADEAR, INRA, ENSAIA) et de
Marie Gaudfernau, de MIRAMAP (contact@miramap.org), et cite 7 producteurs
excusés.
Rapport moral
Pierre Reboud rappelle la genèse du réseau et les dates marquantes : réunion de
Sion (novembre 2009), création de Loramap (avril 2011), manifestation des 10
ans des AMAP (28 mai 2011), création du logo Loramap et édition d’une
plaquette (5000 exemplaires disponibles) (2013).
Les motivations ayant conduit à la création de Loramap sont le besoin ressenti
d’une réflexion commune, d’un positionnement par rapport à des initiatives
extérieures, ou la représentation des AMAP lorraines et les réponses aux
sollicitations extérieures. Parmi les réalisations, l’édition d’un bulletin de liaison
« Le trait d’union », la constitution d’un annuaire et d’une cartographie des AMAP
lorraines (47 actuellement), l’organisation de conférences (comme celle « De la
graine à l’assiette » de Pierre Besse le 18 février à Lunéville) ou la participation à
l’organisation de formations (par exemple « S’installer et bien vivre sur une
ferme à échelle humaine », le 28 mars à Metz).
Un point a été fait par Joëlle Brault sur l’AG du MIRAMAP des 2 et 3 mars 2013 à
laquelle elle a participé avec Guillaume et qui a été l’occasion d’échanges entre
une cinquantaine de participants venus de 15 régions. Le compte-rendu sera
disponible prochainement sur le site http://miramap.org/
Rapport financier
Joëlle Brault présente le bilan des années 2011 et 2012 (joint en annexe).
L’année 2011 a été marquée par des dépenses et recettes (bilan positif)
importantes liées à la manifestation des 10 ans des AMAP. Le budget de l’année
2012 a été plus modeste. Il se solde par un compte positif de 918€, les entrées
étant représentées principalement par les cotisations (actuellement, 14 AMAP
adhèrent, et 3 producteurs), les principales charges étant les assurances et les
frais bancaires. Les frais de téléphone et de déplacement ne sont pas pris en
– 1/4 –
LorAmap – CR AG du 17 mars 2013 28/05/2013
compte dans le budget. Pour 2013, il faudra intégrer les frais d’impression des
plaquettes et l’adhésion au réseau MIRAMAP (100€).
Dans la discussion du rapport financier, il est suggéré d’introduire dans les
comptes la valorisation des actions bénévoles.
Projet d’orientation.
Les actions à mener en 2013 sont présentées sous forme de panneaux consultés
par l’assistance et d’appel à participation à 4 séries d’actions.
Objectif 1 Soutenir l’agriculture paysanne de proximité, respectueuse
de l’environnement, des territoires et des hommes :
projet de couveuse
formations, transmission
organisation de conférence
Objectif 2 : Mettre en réseau les AMAP de Lorraine, favoriser leur
création et leur développement
groupe de travail sur la mutualisation des outils et des expériences
listes d’attente mutualisées
annuaire des AMAP de Lorraine
assurance collective
lettre d’information inter-AMAP (Le Trait d’union)
Objectif 4 : Représenter et promouvoir le mouvement des AMAP dans le
débat public
Amélioration du site internet
représentation des AMAP (stands sur manifestations)
lien avec le MIRAMAP (Mouvement inter régional des AMAP)
Objectif 3 : Accompagner le respect de l’éthique des AMAP en
conformité avec la Charte des AMAP
réflexion collective sur ce qu’est l’agriculture paysanne
veille et réflexion sur l’éthique, les valeurs (exemples : « Y-a-t-il une taille pénalisante
pour une AMAP ? », « Un transformateur peut-il être en AMAP ?», Comment répondre aux
besoins des consommateurs ? », « Quel positionnement par rapport à d’autres initiatives
de distribution de produits locaux ? »
Votes
Rapport d’activité : pour : 6 producteurs, 11 AMAP ; contre : 0 ; abstentions : 0
 Rapport adopté
Rapport financier : pour : 6 producteurs, 11 AMAP ; contre : 0 ; abstentions : 0
 Rapport adopté
Projet d’orientation : pour : 6 producteurs, 11 AMAP ; contre : 0 ; abstentions : 0
 Rapport adopté
Montant des cotisations annuelles à Loramap :
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LorAmap – CR AG du 17 mars 2013 28/05/2013
4 propositions mises aux votes pondérés (méthode Borda) :
· 1€/amapien, 10€/producteur 34 points
· 1€/amapien, 5€/producteur 38 points
· libre/amapien, libre/producteur 31 points
· libre, minimum 1€/amapien, libre, minimum5€/producteur 47 points
 La dernière option (1€ minimum par amapien, 5€ minimum par
producteur) est adoptée
Cotisation au MIRAMAP (100€ par réseau régional) : 12 pour, 2 abstentions
 Cotisation adoptée
Elections au conseil de réseau Loramap.
Aux 8 membres actuels du conseil : Guillaume Boitel, Joëlle Brault, Lucie Carrey,
Dominique Faucheur, François-Xavier Houillon, Vincent Konsler, Pierre Reboud,
Etienne Rozé (Meurthe et Moselle : 6, Meuse : 1, Vosges : 1, dont 2 producteurs)
sont ajoutés :
· Muriel Baillet (AMAP Terre citadine, 57)
· André Bergot (producteur, Vigneulles, 55)
· Christian Leveaux (AMAP Crapaud sonneur, 54)
· Dominique Longuet (AMAP Petits légumes, 57)
· Maryse Mailfert (transformatrice, 54)
Votes : pour : 14 ; contre :0 ; abstentions : 0.
 Le conseil de réseau est adopté
Deuxième partie : Travail sur l’évolution de la charte des AMAP
Animation : Marie Gaudfernau
Attendus de la démarche :
· Effectuer une réécriture de la charte, se repositionner sur la nature d’une
AMAP
· Depuis 2003, les pratiques ont évolué, certains points sont devenus
obsolètes
· Personne ne connait en détail la charte des AMAP, longue de 7 pages et
contenant des propositions redondantes ou contradictoires
· Eviter les dérives vers un mouvement strictement consumériste, se
refocaliser sur les problématiques agricoles
· S’interroger sur le rôle que doit avoir une charte
Le MIRAMAP a rédigé un document d’orientation (socle commun du MIRAMAP) et
une méthodologie de révision de la charte
(http://miramap.org/IMG/pdf/Chantier_de_revision_Charte_des_AMAP_-_Approche_
methodologique.pdf), et un questionnaire ouvert.
Les étapes :
– 3/4 –
LorAmap – CR AG du 17 mars 2013 28/05/2013
· Jusqu’à fin mai : remontée des propositions des AMAP et des réseaux
régionaux, assises régionales
· Juin-août 2013 : rédaction d’une proposition de charte
· Septembre-décembre : remontée des révisions de cette proposition
· Décembre 2013 : adoption de la charte
Animation et réflexion collective en deux temps :
· Par groupes de 3 : qu’est-ce qu’une charte ? quel est son rôle ?
· Puis mise en commun par groupe de 4 des idées des premiers groupes et
sélection des propositions
· Les idées retenues seront analysées par Marie Gaudfernau qui en fera
retour
Mise en oeuvre au niveau territorial :
Loramap va organiser des rencontres entre AMAP sur une base territoriale :
· Vosges-Meurthe et Moselle Sud
· Nancy
· Meuse
· Metz
Actuellement un groupe d’étudiants de l’ENSAIA encadrés par M. Marie
conduisent en partenariat étroit avec Loramap une enquête sur les AMAP
lorraines (profil des amapiens, motivations, fonctionnement de l’AMAP, principes
des AMAP, attentes vis-à-vis de Loramap). Ils seront conviés à ces réunions
territoriales pour faire un retour sur ces enquêtes.
Pour chaque territoire, des référents vont contribuer à l’organisation de ces
rencontres :
· Vosges-Meurthe et Moselle Sud : Joëlle Brault (Capucine), Eliane Duchamp
(Capucine), Véronique Perrin (Rives de la Mortagne)
· Nancy : André Bergot, Christian Leveaux (Crapaud sonneur), Michel Marie
(Phacélie), François-Xavier Houillon (Lagney)
· Meuse : Mathieu Béraud (Thiaucourt), Nicolas Avril (Sous les vignes)
· Metz : Muriel Baillet (Terre citadine), Dominique Longuet (Petits légumes)
Le repas de midi a rassemblé près de 70 personnes, sous la forme d’auberge
espagnole et d’un excellent couscous préparé par Sonia Riboud.
– 4/4 –

COMPTE RENDU DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L’AMAP DE THIAUCOURT DU 29 mai 2013

Information :

 

Un tableau, affiché sur un poteau dans le local de distribution, permet de s’inscrire pour les distributions à venir.

Hervé s’est proposé de le réaliser en format A3 pour une meilleure lisibilité.

S’inscrire veut dire que l’on est présent un peu avant 18 H pour aider les producteurs à décharger et s’installer, participer à la distribution puis de ranger une fois la distribution terminée.

 

Election du coordonateur pour 6 mois :

Benoit Labigand se propose.

Christine Haxaire devient vice coordonatrice.

Merci à Valérie pour les 6 mois qui viennent de s’écouler.

Peu de points à l’ordre du jour aussi des échanges se sont faits lors des interventions des producteurs.

 

Echanges producteurs :

Marie, par l’intermédiaire de Jean-Louis, demande s’il est possible d’avoir un contrat écrit.

Un débat se crée entre les membres présents :

Un contrat oral engage de la même manière l’amapien que s’il était écrit.

Ainsi, il est nécessaire de respecter rigoureusement cet engagement annuel. C’est à partir de cela que Marie peut prévoir sa production.

Si, un événement exceptionnel fait qu’il n’est plus possible à un amapien d’honorer son engagement, alors il lui est demandé de trouver un remplaçant ou d’en faire part à Catherine qui peut connaitre des personnes susceptibles d’être relais car sur liste d’attente.

Pour garantir le nombre de membres pour l’année, il a été proposé de faire :,

12 chèques, garants de l’inscription aux paniers. 8 pour / 12 contre

Un engagement par mel : majorité, une abstention

Rien

C’est la réponse : engagement par mel qui est retenue.

Lors de l’AG de février, un point sera à mentionner pour le renouvellement :

Je renouvelle mon contrat

                                                          Je ne renouvelle pas mon contrat

Lorsqu’une impossibilité de venir chercher son panier est envisagée, il est nécessaire de prévenir 2 jours avant.

Cela conditionne Marie pour la préparation de ses volailles.

 

 

 

Charly :

Il mentionne la difficulté de produire avec les conditions météorologiques de ces dernières semaines.

Les AMAP sont prioritaires pour sa production.

Il est contraint de décaler le deuxième double panier prévu ce mercredi 5 juin à fin juin pour pouvoir y mettre plus de produits de saison.

Des remarques lui ont été soulevées concernant les pissenlits. Charly en tiendra compte. Il nous a expliqué qu’il s’agissait d’une production et non d’une récolte champêtre. Cela nécessite du travail, ce qui justifie le coût.

Laurent (La Chaouette) et Dédé n’ont rien à signaler.

 

Cathy rappelle qu’elle souhaite également être prévenue lorsqu’un amapien ne vient pas chercher son panier. Cela entraine une perte sèche et la destruction du pain.

Eviter cela serait dans l’esprit d’une AMAP : pas de gaspillage.

Vous disposez du numéro de téléphone et adresse mel pour signaler toute défection.

Cathy sera absente le 14 août. Elle reportera le panier à la 1ère semaine de septembre.

Cela sera rappelé.

 

 

Divers :

Propositions :

Benoit Labigand propose de présenter ce qu’est une AMAP lors d’un « café citoyen » organisé par l’association La Vallée Buissonnière, à Bayonville cet automne.

Il y aurait la présentation d’un extrait du film « Herbe ».

L’AMAP est d’accord sur ce principe.

La CCCL, par l’intermédiaire de Brigitte Carrière, présentera la démarche solidaire entreprise par la communauté de commune.

Il est demandé que les producteurs fournissent leur certificat bio.

Vincent demande si l’achat de vin bio intéresse les amapiens. Il reçoit une réponse positive.

Le Domaine de l’Ambroisie (vin de Toul) honorerait une fois par mois les commandes.

Une dégustation préalable sera proposée.

Journée Fête de l’AMAP :

Il pourrait y avoir la projection de film lors du « Festival alimentaire » en novembre.

Un groupe : fête et culture » se constitue avec Babe, Catherine Bernard, Benoit Labigand, Brigitte Rigaux.

Voir pour la fête de la nature à Pagny sur Moselle. 5ème l’an prochain.

Visites demandées :      Ferme de Marie

La Chaouette

Ferme d’Hélène

Ferme de Cathy.

Dates à retenir : le 21 ou 28 août : La Chaouette avec AG sur place. Donc visite, AG et remise des paniers

En septembre, Ferme de la Souleuvre.

 

 

 

Absence des Amapiens aux distributions

Règle retenue : si la personne n’a pas prévenu avant 19h00, le panier est perdu.

En cas d’absence connue à l’avance, merci de prévenir soit directement les producteurs, pour un report la semaine suivante

Pour un retard ou une absence inopinée :
prévenir les personnes ci-dessous

Claude CARRIERE : tél 06/82/97/84/34

Brigitte RIGAUX : tél 03/83/81/97/18

Catherine BERNARD : tél 03/29/89/39/11

Vincent GALANO : tél 03/83/81/27/34

Fin de l’AG pour procéder à la distribution.

COMPTE RENDU DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L’AMAP DE THIAUCOURT DU 21 août 2013

Rappel :

Un tableau, affiché sur le lieu de distribution, permet de s’inscrire pour les distributions à venir.

S’inscrire veut dire que l’on est présent un peu avant 18 H pour aider les producteurs à décharger et s’installer, participer à la distribution puis de ranger une fois la distribution terminée.

Visite de la Chaouette :

La distribution du 28 août se fera, comme prévue, à Saizerais.

Laurent offrira l’apéritif. Le repas, type « auberge espagnole » sera pris ensemble.

La visite se fera par petits groupes. Rendez-vous à 18 H à Saizerais. Co-voiturage possible avec RV à 17 H 15 chez Brigitte et Hervé.

Que chacun s’organise pour se faire ramener son panier s’il ne peut se déplacer.

Information / prêt André Bergot :

La saison des mirabelles va démarrer et Dédé doit remplacer ses frigos. Il a sollicité l’AMAP pour obtenir une aide, sous forme de prêt, de 10 000€.

Le comité s’est réuni : Valérie Lefèvre, Mathieu Béraud, Yves Nussbaum et Vincent GAlano. ( autres membres excusés). Après étude de l’avoir bancaire, il a été décidé de lui consentir un prêt de 9 000€. Dédé s’engage à le rembourser en 3 fois.

Il reste 2 000€ sur le compte.

Information / demande de caravane par Marie Gauvain :

Un donateur a offert une caravane à Marie. Il n’est donc plus nécessaire d’envisager cette dépense.

Le solde du compte est passé sous les 10 000€ mais de manière passagère. Il est donc décidé de laisser le fond de solidarité à 10€.

 

Echanges producteurs :

Charly : Rien à signaler si ce n’est qu’il va tester la production de coulis de tomate pour cet hiver.

Laurent (La Chouette) : Rien à signaler. La visite a été envisagée dès le début de la réunion.

Cathy (La Souleuvre) : Il n’y aura pas la récolte attendue pour le blé. Les sangliers sont passés par là ! Elle achètera, si besoin, à J-C Mathe du blé bio.

Report du panier du 14 août la 1ère semaine de septembre.

Jean-Louis pour Marie remercie pour l’acceptation qui avait été faite pour l’achat d’une caravane.

Il rappelle qu’il est nécessaire de respecter la chaîne du froid pour le transport des volailles.

Il est donc utile de venir avec une glacière.

Il annonce qu’un marché bio aura lieu le 12 septembre à Vigneulles les Hattonchatel à partir de 18 H 30. Il y aura la vente de viande : bœuf, veau….

Ils ont été contactés par l’AMAP de Champenoux qui ne fournit que des légumes et du pain. Elle leur demandait s’ils pouvaient leur livrer des volailles et des œufs. Cela ne leur étant pas possible, ils suggèrent de leur fournir une aide technique et de voir avec un paysan si un parrainage est possible.

Dédé : (représenté). Il y a rupture de stock en jus de fruits. Il remercie très sincèrement pour le prêt accepté.

Artisans du monde : 20 amapiens au début, 12 à ce trimestre.

Divers :

Présentation des « trophées de l’Economie Citoyenne et Solidaire » :

Brigitte Carrière présente la mise en place par le Conseil Général de trophées récompensant des initiatives locales pour trouver des solutions nouvelles face aux problématiques actuelles.

« L’économie solidaire est porteuse d’un changement de modèle de développement, d’une autre manière de consommer, d’épargner, de travailler et d’entreprendre. Un modèle fondé sur des critères de solidarité et de proximité, au cœur des territoires en lien avec les populations qui y vivent. 

Ainsi, cette approche de l’économie solidaire se développera si elle s’intéresse à toutes les initiatives locales et notamment celles portées par les gens habitant leurs territoires urbains comme ruraux et voulant y vivre dignement et y entreprendre activement.

 Afin d’identifier toutes ces initiatives, de les valoriser et de pouvoir les partager, le conseil général de Meurthe-et-Moselle organise les Trophées de l’Economie Citoyenne et Solidaire ».

Un appel est donc lancé à celles et ceux qui souhaiteraient proposer des actions spécifiques / à l’environnement : action en faveur du recyclage et de la valorisation de biens ou déchets ; action en direction de la consommation responsable : circuits courts, commerce équitable ; action développant les déplacements solidaires : co-voiturage, auto-partage..).

Remarque : l’on peut contester l’idée de trophées, la démarche a le mérite de vouloir faire avancer les réflexions.

 

« Festival Alimenterre »

Il y aura la projection d’un film en octobre / novembre. « Cultures en transition ».

Demande de la salle La Loco.

Un lien sera transmis prochainement.

Journée Fête de l’AMAP :

Sophie Lupus explique qu’elle n’a pas eu le temps de s’en occuper et s’est retrouvée seule.

Il faudrait prévoir un repas collectif, des animations pour les enfants, faire des jeux avec des objets de récupération, avoir de la musique et des contes….Date à définir.

 

Absence des Amapiens aux distributions

Règle retenue : si la personne n’a pas prévenu avant 19h00, le panier est perdu.

En cas d’absence connue à l’avance, merci de prévenir soit directement les producteurs, pour un report la semaine suivante.

Liste des contacts page suivante.

Pour un retard ou une absence inopinée :
prévenir les personnes ci-dessous

Claude CARRIERE : tél 06/82/97/84/34

Brigitte RIGAUX : tél 03/83/81/97/18

Catherine BERNARD : tél 03/29/89/39/11

Vincent GALANO : tél 03/83/81/27/34

Fin de l’AG pour procéder à la distribution.

Compte-rendu de l’assemblée générale du 26 novembre 2014

suivi de l’organisation d’un marché  bio à Thiaucourt 

La commune a donné son autorisation. Des marabouts pourront être prêtés.

Prochaine étape : trouver des producteurs extérieurs à l’AMAP ayant envie de participer à cet évènement.

Une réunion sera prévue en janvier pour l’organisation.

suivi de l’épicerie solidaire autogérée :

Une réunion a lieu à la communauté de communes le 8 décembre à 18h.

Vincent a prévu de s’y rendre (éventuel appui de la com com ?)

 

– bilan participation au festival Alimenterre

 

Le film « Nourrir les villes » a été projeté. Il a été suivi d’un débat très intéressant. Néanmoins, il y a eu peu de participants.

Un très grand remerciement à la Mairie de Thiaucourt qui a, gracieusement, prêté de la salle « la loco » et mis à disposition un technicien.

Un second film a été projeté à Pont à mousson le 26 novembre 2014.

L’opération sera renouvelée l’an prochain en espérant un plus grand nombre de participants.

 

– fête de l’AMAP de l’herbe folle 2015 :

L’AMAP n’a jamais organisé de fête depuis sa création.

L’idée : Faire une rencontre à la ferme de la Souleuvre (accord de Cathy), ouverture culturelle : Musique, concert, expo… en fonction des envies des amapiens et des compétences de chacun.

Le 30 mai 2015, l’amap de Montigny est déjà à la Souleuvre. Pourquoi ne pas s’associer pour une rencontre inter AMAP ?

 

– distribution du 24 et 31/12

Une seule distribution d’un double panier le lundi 22 décembre 2014 à 18h00.

Lieu habituel.

Reprise d’une distribution normale après les fêtes.

 

parole aux producteurs :

 

Légumes :

Arrivée prochaine des endives.

 

Dédé :

Les jeunes ont repris la gestion.

Problème : Ils sont toujours en recherche d’un bâtiment afin d’entreposer les fruits surtout les récoltes de la saison prochaine.

(Bâtiment à Velaine en Haye peut être)

Numéro de Dédé : 07 82 57 88 05

Cathy :

Les travaux avancent.

Le four sera arrêté la première semaine de Janvier afin de faire des réparations. Il y aura une distribution le 5 janvier mais avec du pain précuit.

 

Jean-Louis et Marie :

Les personnes ayant commandé des volailles de Noël : dire si c’est dans un panier ou hors panier. Récupération des volailles en même temps que la distribution du 22.

 

(Double panier plutôt après le 31)

 

Pas d’abattage en semaine 8 donc pas de distribution cette semaine là.

 

450 volailles arrivent toutes les 4 semaines. Jean-Louis et Marie sont en recherche de quelques hectares sur Minorville, Noviant, Grosrouvre.

Les paniers œufs : Impossible pour le moment.

 

L’AMAP de pont à mousson sera en visite au printemps chez Marie. Pourquoi ne pas s’y associer.

Possibilité de faire un repas chez Marie et Jean-Louis.

Ces moments conviviaux sont très importants.

 

Rappel :

Il est nécessaire de s’inscrire pour les distributions. Tableau mis à disposition sur pilier à l’entrée.

On remarque souvent les mêmes personnes à la distribution.

2 à 3 fois par an sont suffisantes par amapien. En regardant le tableau, il faudrait signaler qui a « oublié ».

 

Absence des Amapiens aux distributions

Règle retenue : si la personne n’a pas prévenu avant 19h00, le panier est perdu.

En cas d’absence connue à l’avance, merci de prévenir soit directement les producteurs, pour un report la semaine suivante.

Liste des contacts page suivante.

PROCÈS VERBAL DE L’ASSEMBLÉE GENERALE DE LORAMAP 15 mars 2015 – Entre-Deux-Eaux (Vosges)

PROCÈS VERBAL DE L’ASSEMBLÉE GENERALE DE LORAMAP (précision : le doc original est en PDF dont une partie manuscrite et concernant les comptes qui n’a pas été prise en compte dans le copié collé ; document disponible sur le site de Loramap)
15 mars 2015 – Entre-Deux-Eaux (Vosges)
54 personnes étaient présentes à l’Assemblée générale, dont 9 paysans, 2 boulangers et 5 personnes représentant les partenaires (CGA, ALADEAR, Nature et Progrès, INRA).
22 AMAP étaient représentées : AMAP des Carabes, de Candide, de Capucine, , des Choucas gourmands, du Crapaud sonneur, des Coquelicots, de Cressot, de la Ferme du Tipi, de Gugney, Herbe folle (Thiaucourt), du Jardin de Céres, des Jardins de la Chaudeau, La Belle Verte, de la Valotte , Paniers d’ici, Phacélie, du Pichou, Petits légumes, Prez de chez nous, Terre citadine, Tit’Cueillette, Zule, et 5 excusées.
Magali JACQUES, salariée du MIRAMAP, nous a accompagnés tout au long de la journée.
La matinée a commencé par la projection d’un film sur les systèmes participatifs de garantie et s’est poursuivie par la visite de la ferme de Matthieu Bordage, éleveur partenaire de l’AMAP de Capucine.
Sommaire
1. Rapport moral 1
2. Vote du rapport d’activité 2
3. Vote du rapport financier 3
4. Discussions en groupes 4
4. Vote du rapport d’orientation 7
5. Vote du montant des cotisations 8
6. Election du Conseil de Réseau 8
1 – Rapport moral
Après l’élaboration au niveau national de la Charte des AMAP en 2013 et son adoption début 2014, se pose la question de son appropriation et des perspectives du mouvement des AMAP : comment le conforter et le pérenniser ? En effet, le mouvement des AMAP ne doit pas s’enfermer dans un simple mode de commercialisation, mais doit bien défendre une autre vision de l’agriculture : l’agro écologie paysanne. Pour cela, une organisation collective est indispensable, tant au niveau local que régional, national et international. Ainsi l’activité de LORAMAP s’est tournée vers l’appui aux AMAP de Lorraine, comme le montre le rapport d’activité et par une plus grande implication dans les activités du MIRAMAP sur le sujet des financements solidaires, de l’amélioration des pratiques, et de la participation au bureau et au conseil du MIRAMAP.
Concernant plus particulièrement les orientations décidées lors de la dernière AG, même si elles n’ont pas avancé aussi vite que l’on aurait pu le souhaiter ou si elles n’ont pas été couronnées de succès, nous les avons, en fonction de nos moyens, toutes abordées.
Pour rappel, il s’agissait de mieux communiquer, principalement sur la nouvelle charte ; de trouver une aide salariée un jour par semaine et de participer à la réflexion nationale sur les SGP (Systèmes de garantie participative).
Concernant la communication, le site a été mis à jour, on y trouve, en plus de la charte, un annuaire avec cartographie des AMAP de Lorraine, des documents d’aide à la création des AMAP, un début de FAQ juridique, les actualités et les petites annonces. S’il reste du travail à faire, c’est déjà un bon début. Par contre, la communication ne peut se résumer à des outils internet. Il nous faut être présents physiquement sur les lieux de livraison des AMAP pour rencontrer et échanger avec les adhérents et les producteurs. Bien sûr, nous avons pu rencontrer un certain nombre d’AMAP et de paysans qui nous ont contactés suite à des questionnements, nous avons également apporté notre soutien aux six AMAP qui se sont créées cette année, mais cela n’est à nos yeux pas suffisant. Il ne faut pas rencontrer uniquement les AMAP qui rencontrent des difficultés et qui se constituent, toutes les AMAP peuvent, doivent, faire avancer le réseau.
Pour l’aide salariée, l’idée était à l’origine de voir s’il était possible de dégager un peu de temps d’une des salariées du MIRAMAP. Malheureusement cela n’a pas été possible car elles avaient déjà une charge trop importante de travail… et cela ne risque pas de s’arranger pour 2015. Peut-être devrions-nous prendre contact avec les autres réseaux d’AMAP ou bien voir avec nos partenaires (CGA, Conf’, ALADEAR) ?
Enfin, nous avons participé à la réflexion nationale sur les systèmes de garantie participative. Pour rappel, un système de garantie participative est une méthode d’auto-évaluation par un groupe de ses pratiques, il figure comme proposition dans la charte des Amap.
Présence à un WE de présentation en novembre à Paris, puis à un WE de travail à Lyon début janvier et enfin lors du séminaire précédent l’AG de MIRAMAP. Des contacts ont ainsi pu être pris avec d’autres réseaux d’AMAP et nous continuerons à être associés à ce travail au niveau national. Nous avons d’ailleurs pu commencer à réfléchir à sa mise en pratique en Lorraine ce matin sur la ferme de Mathieu.
D’autres pistes de travail avaient été évoquées, toujours lors de l’AG de l’année dernière, autour de la mutualisation : l’assurance commune, la banque éthique, le site internet.
Nous ne reviendrons pas sur le site internet, mis à part pour rappeler que nous pouvons héberger une page d’information pour les AMAP qui le désirent ainsi qu’ouvrir une boîte mail sur notre domaine loramap.org.
Pour l’assurance commune, des démarches ont été engagées, sans suite pour le moment. Une enquête auprès des AMAP de Lorraine concernant les risques à couvrir est nécessaire pour la négociation auprès d’un assureur. Elle n’a pas pu être réalisée cette année.
Concernant la banque éthique, nous avons pris contact avec la Nef/Crédit coopératif afin de négocier les frais de tenue de compte pour les AMAP adhérentes à LORAMAP. Pas de réponse encore de leur part, nous devons relancer.
Si certains dossiers ont bien avancé cette année, d’autres ont été engagés mais n’ont pas encore abouti. Au sein du conseil de réseau, ont été mises en évidence les difficultés à transmettre, et à entendre, l’histoire du réseau et à se constituer une culture commune. Peu de réunions (5) et des ordres du jour très chargés n’ont pas facilité les choses. Le fonctionnement n’étant basé que sur le bénévolat, il ne permet qu’un volant d’action limité. Il s’agira donc pour la suite de prendre en compte ces difficultés rencontrées et de s’atteler à y remédier.
Il ne s’agirait pas de ne considérer que le verre à moitié vide… On peut aussi le voir à moitié plein : il suffit de lire le rapport d’activité pour voir que nous avons été présents toute l’année au côté de toutes les AMAP qui en ont fait la demande, que nous intervenons dans le cursus de formation BPREA Maraîchage bio, que nous répondons aux sollicitations de nos partenaires. Cela montre que nous sommes sollicités et reconnus. Nous ne devons pas l’oublier et nous devons continuer à défendre un autre modèle agricole, biologique et paysan.
2 – Vote du rapport d’activité
Les activités 2014 sont détaillées dans le « Trait d’union n°3 », envoyé à toutes les AMAP de Lorraine en format électronique et papier.
Le rapport d’activité est voté à l’unanimité.

3 – Vote du rapport financier
18 AMAP et 4 paysans étaient adhérent cette année.
Le rapport financier est voté à l’unanimité.

4 – Discussions en groupes
Avant la présentation du rapport d’orientation, les participants se sont répartis en 4 groupes sur des thématiques apparues lors de la visite de la ferme du matin et sur les questions notées sur des post-it au début de la journée par ceux qui le souhaitaient.
4.1 – Comment trouver des adhérents et accueillir les nouveaux ?
Réflexions sur le titre et ouverture : ‘Comment mobiliser, accueillir de nouveaux amapiens et comment maintenir l’engagement des amapiens dans le temps ?’
En effet, il n’est pas suffisant de seulement ‘trouver’ des amapiens, encore faut-il que l’AMAP soit en capacité d’inscrire cet engagement dans la durée… et ce, d’autant plus qu’il ne s’agit pas trouver des clients mais bien de construire de nouvelles solidarités…
De plus si l’AMAP se renouvelle trop chaque année, il est difficile de permettre aussi un renouvellement des membres du collectif ou conseil d’administration de l’AMAP (terme différent selon l’AMAP).
Constats initiaux : des problématiques récurrentes au moment du renouvellement des contrats
4 AMAP pointent leurs difficultés de renouvellement de leurs adhérents
N°1 : Sur 70 adhérents : 30 ne renouvellent pas (= 42%)
N° 2 : Sur 80 adhérents : 30 ne renouvellent pas (=37.5%)
N°3 : Sur 54 adhérents : 8 ne renouvellent pas (=15%)
N°4 : Sur 60 adhérents : 10 ne renouvellent pas (=16.6%)
→Constat que pour certaines AMAP, le taux de renouvellement est très important (+ de 40%) et questionne l’avenir de l’AMAP (risque plus importants et AMAP en difficulté), pour d’autres, ce taux est plus faible (15%). Mais toutes se posent la question du renouvellement.
*Analyse et recherche d’explication : pourquoi un amapien ne renouvelle-t-il pas un contrat ?
→Importance de comprendre et de savoir pourquoi un amapien ne renouvelle pas son contrat = identifier les freins ; les actions à mener par la suite dépendent alors de ces analyses et connaissances.
→Plusieurs questions/ réponses possibles : Est-ce une insatisfaction lié à la qualité du panier ? Le prix d’un panier ? à l’importance de l’engagement ? Ou simplement des déménagements ? Ou encore un planning qui ne coïncide plus avec le jour de livraison de l’AMAP ?
= raisons plus ou moins préoccupantes…
→des freins importants liés à notre société de consommation : comportements et habitudes alimentaires /préjugés : ‘les légumes, c’est compliqué’ / difficile de ‘sortir’ de ces logiques, même dans les AMAP / ‘un vivier militant limité’ / Les moyens financiers peuvent être limités (ex : étudiants, précaires…)
→importance d’inscrire cette réflexion dans le contexte historique et territorial de chaque AMAP : le problème de renouvellement est-il récurrent ou ponctuel ? Y-a-t-il des différences entre AMAP de milieu rural et AMAP urbaine (bassin de vie plus important) ?
→idées pour connaître les motivations de non renouvellement : faire un questionnaire de satisfaction, mener des petites enquêtes, etc.
*Pistes d’actions : actions différentes selon les objectifs
Deux dynamiques à mener en parallèle :
→ Aller chercher – mobiliser – susciter l’envie
→ Accueillir ceux qui viennent à l’AMAP par eux-mêmes

objectifs
Pistes et leviers
Actions réalisées par les AMAP de l’atelier
*Pour faire connaître l’AMAP et ‘trouver de nouveaux amapiens’
Communiquer/sensibiliser : AMAP, agriculture paysanne et biologique, citoyenneté, etc.
Mettre en place une liste d’attente
Encourager le bouche à oreille
Organiser des réunions d’info
Médias locaux : article de presse, radio locale
Participer/organiser des événements locaux, forum
Un blog
*Pour renforcer l’engagement, la cohésion et encourager le renouvellement des contrats (‘fidéliser’)
Communiquer/sensibiliser
Voir liste ci-dessus – qui contribue à informer les amapiens, fédérer…
Un panier de qualité et diversifié
Les participants considèrent que la qualité d’un panier + de la relation sont des leviers essentiels pour maintenir une AMAP
Une relation de qualité avec le/les paysan-ne-s
Encourager les activités pédagogiques et collectives, et notamment sur les fermes
Jeux
Visites et activités à la ferme
Conférence/débat
Dégustations
Des événements festifs et conviviaux : ex : le ‘bal des AMAP’
+ Echange sur l’enjeu d’être en réseau’
→ se rassembler pour partager expériences, outils, astuces et méthodes, notamment sur ce sujet
→ Se rassembler entre AMAP par exemple d’une même ville ou d’un même territoire pour échanger mais aussi pouvoir organiser des événements communs + avec des partenaires (ex : ‘le marché des bonnes idées’)
4.2 – Comment financer la ferme ? Comment déterminer le prix ?
Le calcul du prix : Il faut déjà faire la démarche d’explication du coût de production.
Des facteurs qui l’influencent :
– Les besoins du paysan dépendent du projet de vie, de la composition de la famille et des ressources du conjoint, de l’âge (approche de la retraite), des emprunts contractés pour l’outil de travail.
– Des différences selon les territoires où il est plus ou moins facile de s’installer
– La force de travail
L’accessibilité : prix en fonction des revenus de l’amapien, avec prise en charge par le groupe ou aides publiques, ou sous forme d’échange de service (aide/panier). Comment décider de qui doit être aidé, pour combien de temps, à hauteur de combien ?
D’autres formes de financement : prêt à l’investissement, avance de trésorerie, soutien en cas de coup dur.
Du soutien pécunier mais pas seulement : aide ponctuelle, chantiers solidaires
Même s’il n’est pas actif, un amapien participe en s’engageant pour un panier.
4.3 – Ouvrir des espaces de dialogue
Suite aux échanges d’expériences entre les personnes qui ont participé à ce groupe, voilà une liste non exhaustive des actions et animations qui peuvent être des supports d’espaces de dialogue.
FORMEL (organisé, établi)
-Lettre aux amapiens par e-mail ou support papier
INFORMEL (spontané)
-coups de main au jardin et pique-niques
INTÉRIEUR (entre amapiens et/ou producteurs en AMAP)
– importance du rôle de médiateur par le référent (entre les amapiens et le producteur) en cas de problème.
EXTÉRIEUR (vers d’autres publics)
– se tourner vers d’autres structures, asso ou publiques ; ne pas rester centré sur sa communauté.

La Compagnie des ânes et une AMAP organisent une animation qui consiste à arpenter les rues du village en faisant de la vente de pain à dos d’âne.
-délocaliser la livraison pour un événement public, fête de village etc.
-en parler à son travail, ses proches
Avec d’autres structures
-via le Conseil régional qui a organisé une pièce de théâtre (par des professionnels) à la ferme du maraîcher de l’AMAP, avec des AMAP et d’autres associations. (AMAP Prez de chez nous).
-Artisans du monde a initié une soirée film/débat et repas partagé (AMAP de Capucine)
Autour de repas, d’apéros
-des soupers débats à thème préparés avec les produits des producteurs de l’Amap; périodicité, toutes les 6 à 8 semaines à la MJC Lorraine Vandoeuvre.
Ouvert aux amapiens, producteurs et à toute autre personne. Il faut adhérer à la MJC pour pouvoir y participer. Environ une vingtaine de personnes y participent (activité récente) ; c’est organisé, animé par une personne de l’Amap ; pour aller plus loin que les apéros.
-après l’AG, faire un repas style auberge espagnole, plutôt qu’un apéro debout.
-lors d’amapéro ; temps informel mais organisé, lors duquel le collectif réuni en organe démocratique peut prendre des décisions. (AMAP de Gugney ; constat : l’action s’essouffle un peu avec le temps)
Autour de conférences, d’événements
-conférences publiques ouvertes à tous (s’ouvrir vers les autres) ; environ 8 par an (AMAP les Choucas gourmands)
-visites des fermes 1x/an tous les ans ; pour certains artisans, visite des ateliers de fabrication (atelier pain au fournil par exemple)
Informations
– se faire relais d’informations et animations
Formations
-partage de savoir-faire ; ateliers de cuisine (atelier lactofermentation, cuisine plantes sauvages, AMAP terre citadine)
Les médias
-Appeler la presse locale pour parler du mouvement des AMAP et stimuler l’adhésion via un article (opération réussie pour une AMAP).
4.4 – Mutualiser : quoi et comment ?
Des outils de communication :
– panneaux généraux sur les AMAP (par département)
– des articles de fond pour les bulletins d’info des AMAP
– Communiquer aux autres AMAP ses bulletins d’info
Du matériel et des infos, entre AMAP et entre producteurs (ex. fourniture de semences, de plants – achat groupé de gobelets, ex en Bretagne « J’aime mon AMAP »…)
Des formations pour les paysans et les amapiens. S’associer avec Nature & Progrès qui va proposer des formations aux systèmes de garantie participative.
L’assurance, les cagnottes solidaires, les prêts à taux 0

5 – Rapport d’orientation
Alors que l’industrialisation de l’agriculture se poursuit, que le financement des agricultures alternatives (agriculture biologique, agriculture paysanne) se réduit à peau de chagrin et que les circuits courts sont dans la ligne de mire, tant des libéraux de tous poils (en tant que nouveau terrain de jeux) que de l’État (et plus particulièrement concernant la fiscalité des AMAP), les AMAP, et plus particulièrement en Lorraine, ont du mal à s’organiser.
Le mouvement des AMAP se veut tout à la fois diversifié (chaque AMAP s’organise différemment en fonction de son contexte) et cohérent (par l’intermédiaire du respect de la charte). Appeler à s’organiser ne signifie en rien abdiquer sa singularité. Il ne s’agit donc pas de créer « LE » modèle à suivre ni d’exclure celles et ceux qui ne seraient pas totalement dans les clous mais plutôt d’ouvrir un espace de dialogue et d’échange entre les AMAP de Lorraine : partage d’expériences (qu’elles soient positives ou négatives), de questionnements, de bon temps passé ensemble…
La question de la structuration de notre mouvement est en fait étroitement liée à deux des axes d’orientation que nous avions proposés l’année dernière :
 la communication vers les AMAP en vue de les aider à s’approprier la nouvelle charte ;
 la participation au chantier national autour des Systèmes de Garantie Participative (SGP).
La charte constitue notre socle commun et définit les objectifs des AMAP. La charte ne peut être imposée, elle ne peut qu’être comprise. Prendre le temps d’en expliquer les termes et les notions à toutes les AMAP, afin qu’elle soit appropriée par toutes et tous, doit donc être notre priorité.
Loin d’être une certification ou procédure de flicage, la mise en place d’un système de garantie participative, qui reste à inventer en Lorraine, doit être un moyen de rendre plus concrètes les notions évoquées dans la charte.
Si des premiers pas ont été effectués l’année dernière, il reste encore beaucoup de travail à faire sur ces sujets et il semble donc logique de continuer dans cette voie pour accompagner tant les consommateurs et paysans adhérents à LORAMAP que celles et ceux des AMAP qui n’adhèrent pas encore.
Pour cela, nous pouvons compter sur l’engagement des adhérents de LORAMAP, sur l’appui des salariés du MIRAMAP, sur la coopération avec d’autres réseaux régionaux. Nous devons aussi nous entourer de toutes les bonnes volontés (paysans et consommateurs en AMAP, partenaires).
Dans la pratique, cela pourrait se traduire par la venue d’un ou plusieurs membres du conseil de réseau dans les AG, réunions ou soirées-débats des différentes AMAP de Lorraine, par l’écriture d’articles autour de ces thématiques dans le Trait d’union, par la constitution d’un groupe de travail chargé de proposer et d’expérimenter une ébauche de SGP, etc.
Les orientations suivantes sont décidées (à l’unanimité moins une abstention) :
– Poursuivre notre organisation pour mutualiser
– Susciter les adhésions
– Communiquer en interne et à l’externe sur la nouvelle charte
– Participer au chantier sur le SGP (système de garantie participative)
L’idée étant que développer le SGP permettra de mieux se connaître entre AMAP et paysans, de favoriser les échanges et de multiplier les occasions de communiquer sur la Charte.

6 – Vote de la cotisation
Le MIRAMAP, Mouvement interrégional des AMAP, souhaite augmenter sa part d’autofinancement, très faible jusqu’ici, en faisant appel aux amapiens et aux paysans en AMAP, notamment par l’intermédiaire des réseaux d’AMAP, territoriaux ou régionaux. Les missions de chacun, à chaque niveau, sont complémentaires.
Deux propositions sont faites et soumises au vote de l’assemblée :
n°1
n°2
La proposition 2 est adoptée, avec 12 voix pour et 2 contre.
Le montant de la cotisation ne doit cependant pas être un frein à la participation, et les AMAP qui rencontrent des difficultés à la percevoir peuvent s’adresser à LORAMAP.
7 – Candidatures au conseil de réseau
Sont élues les personnes suivantes :
André BERGOT, paysan (55)
Guillaume BOITEL, paysan AMAP des Coquelicots (55)
Mickaël BOURION, consommateur, AMAP de Gugney (54)
Joëlle BRAULT, consommatrice, AMAP de Capucine (88)
Eliane DUCHAMP, consommatrice, AMAP de Capucine (88)
Dominique FAUCHEUR, consommateur, AMAP du Pichou (54)
Fix HOUILLON, paysan, AMAP du Crapaud sonneur (54)
Michel MARIE, consommateur, AMAP Phacélie (54)
Pierre REBOUD, consommateur, AMAP du Crapaud sonneur (54)
Muriel BAILLET ne souhaite plus être au conseil de réseau mais elle propose d’être relais en Moselle pour LORAMAP.
Merci aux bénévoles de l’AMAP de Capucine qui ont assuré la logistique, préparé avec talent le café d’accueil, l’apéro et le repas grâce aux produits du Jardin des Aulnes (légumes), de la ferme du Hazard(viande), de la Brasserie Grenaille (bière), et de la Meuchotte (pain).
AMAP : 1€/ amapien
Paysan : 5€
et optionnel,
reversé au MIRAMAP par LORAMAP
AMAP : 1€/ amapien
Paysan : 10€ – 50€ – 100€
selon taille de la ferme et possibilités
AMAP : 2€/ amapien
Paysan : 15€ – 55€ – 105€
selon taille de la ferme et possibilités
La cotisation inclut la part MIRAMAP qui lui sera reversée par LORAMAP.

COMPTE RENDU Réunion interamap (thiaucourt/Vigneullees/Mécrin) du mardi 24 septembre 2013.

A Vigneulles, le mercredi 25 septembre 2013

Etaient présents :

Guillaume BOITEL_ AMAP de Mécrin, maraîcher, membre actif LORAMAP.

MATHIEU BERAUD_ membre actif de l’AMAP « l’herbe folle », Thiaucourt

Vincent …_ membre actif AMAP, « l’herbe folle »,Thiaucourt.

Nicolas Avril_ Amap Vigneulles

Elise BELTRA_ Amap de Vigneulles

Rachel BERNARD_ Amap Vigneulles

Francis COURTOIS_ Amap de Vigneulles

Céline AUBRY_ Amap de Vigneulles

Flore LABRIET_ Amap de Vigneulles

Arnaud LESTAGE_ Amap de Vigneulles.

Ordre du jour effectif:

  • Fonctionnement interne de chaque Amap
  • Charte Amap (ajourné).
  • Aide aux producteurs.

Fonctionnement AMAP de Thiaucourt :

L’amap de Thiaucourt tourne à un peu moins de 70 amapiens. Le plafonnement décité en AG a été fixé à 70/75 pour des raisons de stationnements, à partir de ce seuil, de nouveaux membres peuvent être tout de même accueillis s’ils viennent à pied sur le lieu de livraison (éviter trop de véhicules et des plaintes de riverains). Les effectifs peuvent varier. On a observé une légère baisse du nombre d’amapiens, les motifs de sortie ne sont pas réellement identifiés, mais il peut s’agir par exemple du prix de paniers estimé trop élevé, de déménagement,…

Pour ce qui est de l’enquête de satisfaction, Mathieu a suggéré aux étudiants de l’ENSAIA qui travaillaient sur la charte de faire une visite sur une distribution. Limite des résultats de l’enquête : un retour global de leur enquête mais pas de retour ciblé sur l’amap de Thiaucourt.

Organisation d’une Assemblée générale tous les trimestres avec tous les producteurs.

Prise de paroles ouvertes, recherche de consensus, votes à main levé si nécessaire, utilisation du bulletin secret exeptionnel (une seule fois depuis le début). Exemple de sujets : difficultés des producteurs, souhaits et remarques des amapiens,…

Au moment de l’AG, versement des chèques à la trésorière de l’amap qui centralise et les remets ensuite aux producteurs ; une cotisation de 15€ est versée par trimestre et par amapien pour alimenter un fond de solidarité (la règle concernant le montant de cette cotisation est fonction du niveau atteint par le fond : lorsque la somme dépasse 10 000 €, la cotisation passe à 10 €). Ce fond est destiné à soutenir les producteurs en cas de problèmes (plusieurs fois mobilisé pour faire des prêt sans intérêt ; certaines fois en collaboration avec d’autres amap ayant le même producteur) ; ce fond peut également être mobilisé pour soutenir temporairement des amapiens qui rencontrent des problèmes financiers pour leur permettre de continuer à avoir un panier.

Pas de contrats signés, mais un engagement moral (sujet débattu en AG, la nécessité de signer un contrat n’a pas été retenu par une majorité d’amapiens considérant que le lien de confiance qui se construit dans la durée avec les producteurs n’est pas forcément rendu plus fort s’il est formalisé par un contrat écrit) ; chaque amapien se voit communiqué lors de son inscription le règlement intérieur qui précise :

  • Que toute personne s’engage par un contrat moral sur une année civile de production.
  • Que toute personne arrêtant en cours de route (déménagement, difficultés financières,…) doit trouver quelqu’un d’autre pour terminer le panier, pour simplifier la tache des producteurs. A défaut, si l’amap est prévenue suffisamment tôt, dans la mesure du possible elle s’engage à trouver une autre personne.

Concernant la feuille d’émargement, ce sont les producteurs qui en assurent la gestion. En abscisse, liste des amapiens (noms et prénoms), en ordonnées (les dates pour toute l’année). Les amapiens cochent ou signent à l’emplacement de la date. Ils peuvent si ils ont l’aval du producteur reporter une livraison pour prendre la fois d’après un double panier (exemple : vacances estivales).

Pas de référents par producteur, mais deux coordinateurs élus pour par l’AG pour une durée de un an et qui ont pour mission d’expliquer le fonctionnement et l’organisation de l’amap aux nouveaux venus, de communiquer les prix et les paniers possibles. Vincent constate que tous les amapiens ne s’investissent pas forcément selon la même intensité, mais cela tient à la personnalité de chacun et cela n’a posé de problème jusqu’alors.

Pour la communication, cad le routage des messages entre membres de l’amap, c’est Claude CARRIERE qui gère les e-mails sur son adresse de messagerie personnelle. Pas de site internet.

Les livraisons se font au domicile d’Hervé RIGAUX. L’amap ne souscrit pas d’assurance, cela n’étant pas nécessaire.

Des visites sont organisées régulièrement chez les producteurs, l’amap en profite pour la coupler avec une distribution et un repas prix en commun. Donc pour l’organiser un mercredi sur les mêmes créneaux horaires.

Vincent explique qu’en plus des contrats les producteurs font de la vente directe. C’est le cas de tous les producteurs.

Pour les permanences de distributions un tableau est affiché sur le lieu de livraison et les gens s’inscrivent en direct.

Dans le prolongement de la logique d’approvisionnement par le circuits courts, les amapiens qui le souhaitent, s’organisent pour passer des commandes de produits qui ne sont pas livrés par les producteurs à une plate-forme de distribution de produits bio (scot la cigogne située en Alsace). Les commandes portent sur des produits tels que l’huile d’olive, les sauces tomates, etc.

Suite aux critiques exprimées par Guillaume Boitel concernant la vente de produits par les producteurs au-delà du contrat ainsi que le recours à des commandes groupées (cela contribuant à pervertir l’esprit de l’amap ; Guillaume précise que çà revient ni plus ni moins qu’à acheter en grande surface. Il ne voit pas de différence ! )

Vincent précise qu’il trouve ridicule d’aller acheter des produits ailleurs des produits dont on a besoin (légumes en plus grande quantité, oeufs ou bière, etc.) et qu’il trouve insultant pour les prod comme pour les amapiens de comparer cela à des courses au super marché

Pour les contrats, Guillaume précise que ce serait bien de formaliser les contrats moraux par des contrats écrits comme cela est stipulé dans la charte.

Pour Mathieu, pas d’opposition de principe pour des contrats signés. Fera l’objet d’une discussion lors de la prochaine AG. Vincent explique que c’était un choix délibéré de ne pas tout tracer.

Concernant la vente directe sur le lieu de distribution. L’amap légalement est un lieu de livraison nous souligne Guillaume. Il ne doit pas y avoir de flux de liquidité sur le lieu de livraison.

Mieux de passer par un système de bons de commandes. Ou bien par une cagnotte. L’amapien ouvre un compte auprès du producteur d’un certain montant. Le producteur tient alors le décompte de ce qu’il lui reste en « banque » au fur et à mesure des commandes. A l’amap de formaliser le contrat !

Cécile explique que cette option a été soumise aux producteurs qui n’ont pas été séduits par le principe. Trop lourd à gérer.

La vente directe producteurs_consommateurs ne pourrait se faire, pour des raisons de fiscalité, que chez le producteur uniquement et non sur le lieu de livraison, de façon à ne pas tomber sous l’accusation de concurrence déloyale par les commerçants de la zone d’achalandise.

Pour les principes de doubles paniers Guillaume explique que pour son cas, ce ne serait pas possible. Pas de souci pour Charlie qui peut liquider sa production sur d’autres circuits de distributions (marchés,…).

Problème pour le producteur qui est en exclusivité AMAP. Le moment où les amapiens partent en vacances correspond aussi aux pics de productions !

La solution reste que les amapiens trouvent une personne à qui revendre leurs paniers en cas d’absence pour simplifier la tache des producteurs.

Vincent précise que ce système doit être validé par les producteurs !

Guillaume précise que cela est mieux d’avoir un référent producteur car certains producteurs n’osent pas se livrer sur la place publique pour exposer une difficulté technique, financière,…Qu’il n’y a pas d’égalité de fait entre producteurs et consommateurs, mais plutôt un rapport de force favorable aux seconds, les producteurs se pliant de toute façon aux désidératas du client.

Guillaume précise que l’amap doit rester sur son cœur de mission et respecter une organisation commune au risque de mettre en péril toutes les autres amaps. Que si les amaps veulent s’ouvrir à d’autres champs les membres doivent créer en marge une autre association ! Que les gens ne vont pas faire leurs courses dans un magasin uniquement ! Pas de problème de lisibilité.

La vente de biens via la coopérative alsacienne ne rentre déjà plus dans une démarche amap.

scot la cigo

Prix et contenus de paniers :

Charlie compose le contenu du panier en fonction des fluctuations de prix de la Mercuriale. Si les prix sont réévalués à la hausse les quantités diminuent.

Pour l’amap de Vigneulles, Benoît se calle aussi sur la Mercuriale. A voir avec Benoît si il procède de la même manière.

Guillaume nous précise que ces deux producteurs sont en train d’adapter les techniques de production conventionnelles au Bio via l’association planète légumes. www.planetelegumes.fr

Ce serait éloigné de la démarche AMAP et de la permaculture. A suivre !

Fonctionnement amap de Vigneulles.

Pour simplifier la gestion des commandes, l’amap a choisi l’organisation de marchés. 4 marché bio par an.

L’amap regrette que les producteurs ne puissent pas être présents plus. 1 semaine sur deux pour Benoît, 1 sem sur 3 ou 4 pour David,…Le problème est que les producteurs sont sur plusieurs amap. Ils ne peuvent pas se démultiplier.

Je précise que pour Mécrin Guillaume est sur place et est en exclusivité sur l’Amap de Mécrin.

Guillaume précise que cela doit dépendre du chiffre d’affaires que le producteur fait pour l’amap. Pour un gain modique on ne peut pas lui demander la même assiduité que pour un producteur qui fait le gros de son chiffre d’affaire.

Solidarité producteurs :

Je demande ou s’arrête l’aide aux producteurs. Dans quels cas les aléas climatiques, techniques,… ne peuvent pas être couvert par une assurance spécifique souscrite par les producteurs.

Guillaume précise que si les producteurs souscrivent à une assurance ils devront la répercuter sur les prix. Qu’il trouve plus logique que ce soient les amapiens qui couvrent les « accidents de parcours ».

Concernant Hélène, Guillaume et Rachel font le point sur le problème.

Les chèvres ne produisent plus de lait. Hélène pour honorer ses engagements amap est livrée en lait de vache par un producteur de LACROIX SUR MEUSE. Donc beaucoup moins rentable pour elle d’autant qu’elle doit toujours fourrager les chèvres.

Il est convenu plusieurs options pour lui venir en aide :

  • Prêt à taux 0. L’amap de Thiaucourt l’a déjà fait pour Hélène. Ayant octroyé un prêt à André BERGOT de 10 000 € dont le remboursement doit être honoré pour décembre 2013, elle ne peut prêter qu’entre 2500 et 3000€ dans l’imédiat. L’amap de Vigneulles ne peut sortir que 900€. Pas de fond de solidarité.
  • Dons
  • Achat de matière première. Donc achat du lait qui sera donné à Hélène.
  • Prise en charge du surcoût engendré par l’achat de lait de vache.
  • Parrainage de chèvres.

Il est question que les référents producteurs en discutent avec Hélène.

Concernant Marie.

Marie a eu un préjudice de 3000 € pour un vol de poules.

Il est convenu de lui demander ses besoins. De voir combien lui remboursent l’assurance et de lui proposer de l’aide pour la différence.

Dans le cas particulier des dons, Guillaume pense que l’aide aux producteurs doit être fonction de l’engagement du producteur sur l’amap. Si l’amap représente « 20% » de son chiffre d’affaire, l’amap ne doit pas aider à hauteur de 80 % du préjudice. Pour les prêts à taux 0, différents.

Marchés :

Vu que nous avons les producteurs ou que les producteurs différents produisent la même chose aucun intérêt d’une organisation commune.

L’amap de Thiaucourt continuera de communiquer la tenue du marché auprès de ses amapiens et ce par l’intermédiaire de Claude CARRIERE comme les fois précédentes.

Concernant le souhait de l’amap d’intégrer des produits issus du commerce équitables il est convenu que l’amap de vigneulles en parle lors de sa prochaine réunion bureau.

Charte :

Guillaume précise que si une amap n’est pas d’accord avec le fonctionnement elle peut faire évoluer la charte de l’intérieure mais pas le faire dans son coin.

Guillaume a déjà envoyé les éléments de réflexion et les enverra à nouveau. Chaque amap fera le point en bureau pour faire remonter ses amendements lors de la réunion de novembre dont la date reste à préciser par Guillaume.

Compte-rendu amap l’herbe folle 27-05-2015

Projet GAEC Romé

Charly sollicite les amap dont il est le maraîcher pour un projet de construction de serre. Elle dispose d’une double paroi ainsi que d’un système de récupération d’eau de pluie. Elle peut donc rester hors gel toute l’année dans des conditions normales et permettre de récolter par exemple des tomates de juin à novembre ou des courgettes ou autres légumes plus tôt et plus tard dans l’année.

Nous avons déjà eu le détail du financement par courriel, mais en très résumé, il faudrait 120 paniers estivaux à 20€ pour que le projet soit financé. Ce qui représente 158€ par an et par amapien.

Après débat, l’AG décide de financer notre part du projet avec notre fonds de solidarité, ce projet correspondant exactement à ce pour quoi il a été créé. Les amapiens désireux de commander tout de même un panier estival hebdomadaire de 20€ de tomates ou de légumes d’été le feront directement auprès de Charly ou bien par courriel. Grâce à ce projet tout le monde pourra jouir d’une variété encore plus alléchante de légumes délicieux et ceci pendant une période plus grande sur l’année !

Ferme de la Souleuvre

Les travaux en cours avancent bien. Les premiers foins devraient rentrer sous peu dans la nouvelle grange. Pour palier à l’épuisement du stock de farine, Stéphane et Cathy se fournissent chez Christelle et Jean-Michel Matte à Royaumeix.

Il n’y aura pas de panier le mercredi 19 août et double panier le mercredi suivant.

Fruits Bergot

Dédé élargit la gamme des produits proposés pour fidéliser les amapiens (il regrette la « tripotée » de demi-paniers dans certaines de ses autres amap). Nous aurons en plus des habituels fruits de saison, des pruneaux de mirabelles, des compotes et des confitures.

Chaouette

Laurent reconstitue les stocks. Normalement tout est bon pour juin, à la prochaine livraison. N’oubliez pas de faire vos commandes à l’aide du bon que vous avez déjà reçu.

Volailles

Marie et Jean-Louis nous remercient pour la belle fête à Grorouvres. La certification « nature et progrès » est officiellement arrivé. Le cahier des charges un peu plus rigoureux engendre un léger surcoût alimentaire qui, pour l’instant, ne sera pas répercuté sur le prix des paniers. La bonne nouvelle de l’arrêt des vols nocturnes sur la ferme a été ternie par les ravages provoqués le 28 mai par des prédateurs qui ont faits près de 200 victimes ! Une solution a déjà été trouvée auprès d’un producteur alsacien pour éviter une interruption de livraison des paniers.

Jean-Louis nous informe aussi de la mise en vente prochaine d’une exploitation à Bernécourt. Personnellement, Jean-Louis verrait bien la création d’un groupement foncier agricole (achat de parts sociales d’un ha) qui permettrait l’installation de plusieurs petites exploitations plutôt qu’une seule énorme ou un rachat qui grossirait une exploitation déjà existante. Ce système permettrait du même coup de racheter 2ha supplémentaires qui seraient bien utiles aux volailles. Jean-Louis nous tiendra informés.

Bilan marché

100 % positif ! Le prochain marché aura lieu le mercredi 29 juillet. Même endroit même heure ! Et nous aurons le plaisir d’avoir un stand « compostage » animé par la communauté de communes.

Blog

Mathieu propose la création d’un blog qui centraliserait les informations et la communication au sein de l’amap. N’importe quel amapien pourra l’alimenter en infos ou nouvelles de toutes sortes aillant un lien avec les objectifs et les statuts de l’amap. Le blog sera hébergé par Loramap.

Extrait du compte-rendu de l’ag du 25 février :

  1. Rappel Inscription Déballage-Distribution

Pensez-y ! Arrivez plus tôt vers 17h45 lorsque c’est votre tour pour assister au déballage.

C’est un problème soulevé, car il arrive qu’il n’y ait pas suffisamment de monde.

  1. point financier sur notre fond de solidarité

Pour rappel le fond de solidarité existe depuis les débuts de l’AMAP. Au départ, la

cotisation était fixée à 15€ par trimestre. Comme nous n’avons pas dépensé beaucoup et

que les aides aux producteurs ont plutôt pris la forme de prêts souples, nous avons

encore une somme conséquente : 5082 € sur le compte ; Dédé a remboursé une partie,

ce qui amène le compte à 8082 € en termes de trésorerie. En termes de comptabilité,

nous avons en réalité 13000 €.

En conséquence, la contribution au fond de solidarité pour l’année est laissée au libre

choix de chacun avec un minimum de 5 euros comme nous en avions décidé lors de

précédentes AG.

7 Absence des Amapiens aux distributions

 

Règle retenue : si la personne n’a pas prévenu avant 19h00, le panier est perdu.

En cas d’absence connue à l’avance, merci de prévenir soit directement les producteurs, pour un report la semaine suivante.

Liste des contacts .

Pour un retard ou une absence inopinée :
prévenir les personnes ci-dessous

Claude CARRIERE : tél 06.82.97.84.34

Brigitte RIGAUX : tél 03.83.81.97.18

Catherine BERNARD : tél 03.29.89.39.11

Vincent GALANO : tél 03.83.81.27.34

Et les referents

Denis                    2nids.val@wanadoo.fr

Tiphaine             tiphaine.lacroix@wanadoo.fr

Si nous avons oublié des trucs, n’hésitez pas à repréciser

Fin de l’AG

 

Assemblée Générale AMAP Herbe Folle – 25 février 2015

  1. Marché bio : doit avoir lieu le 26 avril

Le problème du branchement électrique pas résolu : le coût d’intervention d’EDF 400 €, donc faire autrement, car le système pérenne prévu par la mairie ne sera pas opérationnel d’ici la date prévue.

Claude prend contact avec le gérant de carrefour et du petit bazar pour que l’on ait un branchement. La somme demandée sera payée avec le fond de solidarité.

Catherine se charge des affiches : il est décidé après discussion de rebaptiser l’événement « marché bio et local » et la ferme de la Souleuvre pourra vendre ses fromages en précisant que ce n’est pas labellisé AB, mais « en attente d’appellation » (proposition de Dédé, acceptée).

Tableau Lumineux Mairie : c’est prévu (Gérard)

Contact de l’Est Républicain : Anne Contoux

Contact Radio RDM

Une page Facebook pourrait être créée : Tiphaine se propose de le faire ; reste la question : à partir de quelle adresse ; le mieux est d’utiliser celle de l’AMAP : il faut retrouver le mot de passe – contacter Vincent qui doit l’avoir.

Claude propose de mettre la liste de diffusion sur l’adresse de l’AMAP pour que ceux qui le souhaitent puissent directement diffuser des documents à partager. Là aussi, il faut le mot de passe.

  1. Epicerie Solidaire

Le projet reste en suspens, car nous n’avons pas les moyens de stocker.

Durant les années précédentes, certains amapiens ont passé des commandes groupées auprès d’un distributeur de produits bio localisé en Alsace (scot la cigogne). Un fichier excel détaillant l’ensemble des produits disponibles a été diffusé. Les prix ont sans doute évoluer à la hausse. Les conditionnements sont ceux du mi-gros, mais pas excessifs non plus. L’idée est de commander en commun.

Ceux qui seraient intéressés m’envoi un mail (mathieu.beraud@univ-lorraine.fr ou à Claude) pour que je dresse une liste. Si nous sommes nombreux, il est possible de faire plusieurs cercles de commande. Pour ne pas s’étendre trop dans le temps, je fixe la limite au 11 mars.

  1. Laurent propose un panier bière sur la base d’expériences déjà entamées dans deux autres amap

Différents paniers sont proposés ; nous allons recevoir un fichier. Le principe est celui des amap : un engagement annuel…mais avec de la souplesse. Vous déterminez à l’avance, à quel fréquence vous souhaitez un panier bière : une fois tous les deux mois, ou une fois par trimestre, ou tel ou tel mois. Ensuite, vous choisissez parmi la gamme de panier pour la quantité et le prix.

Laurent donne quelques exemples :

  • panier à 15 € = 8 petites
  • panier à 20 € : 6 grandes

Les chèques sont fait à l’avance (au trimestre ?) et tiré au fur et à mesure (à vérifier)

La proposition est adoptée. Laurent envoi le fichier et le planning pour que chacun puisse se déterminer.

  1. fête de l’amap à la souleuvre

Samedi 30 mai en même temps que l’amap de Montigny ; distribution du panier souleuvre et Laurent sera la pour la Chaouette ; la distribution du mercredi est maintenue pour les autres producteurs.

  1. Rappel Inscription Déballage-Distribution

Penser y ! Arriver plus tôt vers 17h45 lorsque c’est votre tour pour assister au déballage.

C’est un problème soulevé, car il arrive qu’il n’y ait pas suffisamment de monde.

  1. point financier sur notre fond de solidarité

Pour rappel le fond de solidarité existe depuis les débuts de l’AMAP. Au départ, la cotisation était fixée à 15€ par trimestre. Comme nous n’avons pas dépensé beaucoup et que les aides aux producteurs ont plutôt pris la forme de prêts souples, nous avons encore une somme conséquente : 5082 € sur le compte ; Dédé a remboursé une partie, ce qui amène le compte à 8082 € en termes de trésorerie. En termes de comptabilité, nous avons en réalité 13000 €.

En conséquence, la contribution au fond de solidarité pour l’année est laissée au libre choix de chacun avec un minimum de 5 euros comme nous en avions décidé lors de précédentes AG.

Hervé (Bouch) demande une aide de l’amap d’une quarantaine d’euros pour installer une lampe à l’extérieur de la grange : acceptée.

  1. Paroles aux producteurs

La souleuvre : de nouveaux salariés ; une bonne ambiance de travail…

Encore des travaux en fromagerie notamment et dans la grange de séchage.

La grange de séchage est en cours de réalisation. Cela doit permettre à la Souleuvre d’accroître son autonomie et limiter les intrants : le foin séché a des qualités nutritionnelles supérieures : bref un pas de plus vers la bio.

Des amapiens ont déjà participé durant l’été aux travaux d’aménagements de la grange. Il sera fait appel une nouvelle fois aux bonnes volontés et aux bricoleurs pour participer à ce chantier entre mars et mai. Stéphane de la Souleuvre préviendra Hervé (Bouch) qui constituera les équipes.

Au deuxième trimestre : augmentation des prix de 3 à 5% : demande si on reste à un panier à 9,5 avec moins de marchandises ou si l’on ajuste à 10 € ; après vote le nouveau prix de panier est accepté par une majorité.

GAEC Romé – maraichages

Pas de changements sur la production.

Réévaluation du prix du panier à discuter à la prochaine AG : propose un passage de 13 à 14 € .

André Bergot : RAS ; au niveau des paniers, il faudrait pas que cela descende au dessous de 30 : avis à ceux qui souhaitaient s’engager.

Il faut faire des retours sur les produits ; ne pas hésiter : avis partagé par l’ensemble des producteurs

Loramap : AG le 15/03 dans les Vosges : tous le monde peut y aller

http://lesamapdelorraine.org/

Dédé demande pourquoi nous n’avons pas renouvelé l’adhésion : de la négligence de notre part, mais aussi une absence de relance de loramap. Sur le principe, pas d’opposition. Pour rappel, l’adhésion est fixée à 1€ par an par amapien. Les producteurs adhèrent individuellement pour 5 €.

Dédé explique que Loramap est très active au niveau national : au rassemblement AG de Miramap (instance nationale) qui a réuni 60 personnes, 6 étaient de loramap.

Hélène Lebas : redémarrage ; reprise mars, avril, mai

Confusion sur les paniers. Tout est possible ! le prix du fromage est de 3€. Le panier est de deux fromages, mais on peut prendre ½ panier ou 1,5 panier ou ….

Début mars, tous les 15 jours ; 36 euros pour le panier ; possibilité de régler en 2/3 fois.

Jean-Louis (et Marie) Gauvain – Volailles, œufs

Arrêt au 31/12 la certification Ecocert qui est complètement dépassé ; adhésion à Nature et Progrès

http://www.natureetprogres.org/nature_et_progres/natureetprogres.html

(petit lien pour ceux qui ne connaissent pas)

Propose une distribution délocalisée à la ferme chez eux :

Marie se charge du plat principal : pour la date soit le 6, 13 ou 20 mai.

On fait la visite et la distribution à Grosrouvres.

Si j’ai oublié des trucs, n’hésitez pas à repréciser